Suite aux évènements relatés dans mon article du 28 mai dernier concernant le gilet de la firme Pinnacle Armor, le Congres as lancé une enquête durant laquelle l'expert utilisé par NBC pour appuyer les tests sur le gilet DragonSkin opposé au système IBA de l'US Army, Dr. Phillip Coyle, directeur des tests et évaluations du Pentagone sous la présidence Clinton, as déclaré que le DragonSkin serait "meilleur... [pour protéger] contre les impacts multiples et en réduction du traumatisme interne" que le système actuel distribué par l'US Army.
Cependant, après avoir été confronté à des documents de l'Army issus des tests menés en Mai 2006, le Dr. Coyle est revenu sur ses déclarations, et lorsque le représentant Duncan Hunter (R. - Californie) lui demanda si "aujourd'hui [il] ne peut pas dire si [le système] est prêt pour une utilisation en ligne de front", Coyle acquiesça sur le fait que le gilet n'est actuellement pas encore prêt pour être déployé sur le terrain dans l'état.
Neal Murray, président de Pinnacle Armor, reste lui sur sa précédente ligne de défense devant le Congres : pour lui les bureaux de test de l'US Army ont manipulé les résultats qu'ils ont fourni à la presse et aux représentants, argumentant le fait que les images délivrées par l'Army montraient que les balles n'avaient pas traversées le gilet contrairement aux déclarations officielles, ce à quoi les militaires répondirent par une vidéo montrant Murray lui même constatant le retrait d'une des balles ayant traversé le gilet de la glaise balistique par les testeurs...
Quand il lui fut demandé par le Rep. Gene Taylor (D. - Mississipi) si "si [il] avait porté cette veste... et que la balle l'avait touché au torse, elle [l']aurait tué", Murray déclara que d'après lui la réponse était non.
Au final, la seule chose sur laquelle tout le monde est d'accord est le fait qu'une nouvelle série de tests comparatifs par un laboratoire indépendant serait nécessaire pour savoir le fin mot de l'histoire.
Cependant, après avoir été confronté à des documents de l'Army issus des tests menés en Mai 2006, le Dr. Coyle est revenu sur ses déclarations, et lorsque le représentant Duncan Hunter (R. - Californie) lui demanda si "aujourd'hui [il] ne peut pas dire si [le système] est prêt pour une utilisation en ligne de front", Coyle acquiesça sur le fait que le gilet n'est actuellement pas encore prêt pour être déployé sur le terrain dans l'état.
Neal Murray, président de Pinnacle Armor, reste lui sur sa précédente ligne de défense devant le Congres : pour lui les bureaux de test de l'US Army ont manipulé les résultats qu'ils ont fourni à la presse et aux représentants, argumentant le fait que les images délivrées par l'Army montraient que les balles n'avaient pas traversées le gilet contrairement aux déclarations officielles, ce à quoi les militaires répondirent par une vidéo montrant Murray lui même constatant le retrait d'une des balles ayant traversé le gilet de la glaise balistique par les testeurs...
Quand il lui fut demandé par le Rep. Gene Taylor (D. - Mississipi) si "si [il] avait porté cette veste... et que la balle l'avait touché au torse, elle [l']aurait tué", Murray déclara que d'après lui la réponse était non.
Au final, la seule chose sur laquelle tout le monde est d'accord est le fait qu'une nouvelle série de tests comparatifs par un laboratoire indépendant serait nécessaire pour savoir le fin mot de l'histoire.